Durant les dernières décennies notre système de santé a été amené à se transformer radicalement sous la poussée des découvertes de l’industrie pharmaceutique. Les progrès de la biotechnologie qui ont facilité les séquençages, ceux de l’exploitation des données, ont accompagnés la découverte de nouvelles molécules. Enfin, le mariage entre les industries pharmaceutiques et les grands opérateurs informatiques du Big Data aura donné une impulsion toute particulière à cette mutation qui consiste à maintenir « le capital-santé de l’individu plutôt qu’à le soigner lorsqu’il est malade ». Tous ces acteurs ont compris et contribué à la naissance d’un «business» très contemporain : vous empêcher de tomber malade !
De temps à autre, il m’arrive de citer cette phrase du poète Paul Valéry – « le temps du monde fini commence » (Regards sur le monde actuel. Stock. 1931). Sa pertinence m’aide dans mes tentatives optimistes de chercher dans l’inventaire des innovations sociales et dans le corpus de la science, des issues à l’inquiétante dérive de notre monde.
Rueil Malmaison, le 25 août 2015 – Après les récents incendies qui ont réduit en cendres de vastes étendues de forêts cet été, Reforest’Action appelle les entreprises françaises, et en […]
On vient de retrouver le photojournaliste mexicain Rubén Espinosa, torturé et assassiné aux côtés de la militante des droits de l’homme Nadia Vera et de trois autres femmes. Au Mexique, […]
IL NOUS FAUT RECONSTRUIRE AVAZ J’ai de mauvaises nouvelles: notre système informatique, véritable charpente invisible qui structure notre mouvement et nous relie les uns aux autres lors de chaque campagne […]
Le gouvernement américain s’apprête à laisser une compagnie minière internationale saccager, au sein d’une forêt nationale, un splendide site naturel sacré depuis des siècles pour le peuple apache. Mais en […]
Le 15 juillet 2015, le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a publié les derniers chiffres du nombre de malades soignés grâce à ses programmes. Ce sont 8,1 millions de malades du sida qui sont soignés grâce aux programmes financés par le Fonds mondial. Sur ces 8,1 millions, 1,1 million le sont grâce à la contribution financière de la France.
« Crèches, maternités, hôpitaux, maisons de retraite… Voir la vie en bio ! » Paris, le 2 juillet 2015 – Agir pour l’environnement et 12 autres partenaires* lancent une campagne […]
Cela fait 20 ans que le génocide de Srebrenica a eu lieu et l’ouvrage de Florence Hartmann, « Le sang de la Realpolitik – L’affaire Srebrenica », qui paraît aux éditions Don Quichotte sous format électronique, vient à point nommé. C’est le livre d’un lanceur d’alerte qui connaît par cœur la triste histoire de la Bosnie et qui se refuse à laisser dans l’ignorance ou l’ambiguïté les pans de l’histoire qui n’ont pas été élucidés.
Aujourd’hui, bon nombre d’entreprises, qualifiées un peu abusivement de « disruptives », s’illustrent particulièrement sur des usages communs pour lesquels la valeur existante ne demandait qu’à être démultipliée. C’est le cas notamment de celles axées sur l’économie du partage, mais également de la plupart des modèles digitaux, qui, en quelque sorte, font « du neuf avec du vieux ».
Et si l’État prenait l’initiative d’innover en permettant aux investisseurs eux-mêmes de lever plus facilement de l’argent, par exemple, en labellisant les sociétés de gestion innovantes, comme il le fait avec les entreprises innovantes elles-mêmes ? » Jean-Yves Nothias, investisseur associé de Vesale Partners revient sur son parcours de capital-risqueur.
L’économie du Nouveau Monde est déjà là. Une économie libérée des énergies fossiles et fissiles, connectée, relocalisée et au service de l’humain. Partout dans le monde, la transition énergétique est en marche. Les réussites citoyennes, entrepreneuriales, territoriales, se multiplient. Et la France n’est pas en reste !
Rapport remis à Madame Ségolène ROYAL
Ministre de l’Environnement du développement durable et de l’Energie
Les innovations soumises aux entreprises sont le fait de métissage d’idées, de savoirs, d’expériences ou de transferts technologiques qui ont tous pour dénominateur commun d’être sortis du cerveau d’un nombre croissant d’individus collaborant ensemble. Ce saut créatif dépend moins de la connaissance acquise que de la capacité à poser en permanence sur le monde qui nous entoure un regard de curiosité et de questionnement permanent.
L’agression nationaliste serbe en Bosnie ne commença pas, comme l’histoire le retient, en avril 1992, lorsque l’indépendance de la Bosnie fut reconnue internationalement. Non, elle débuta concrètement plus tôt. En fait, elle commença, bien avant… dans les esprits ! La guerre en ex-Yougoslavie et ses conséquences meurtrières sur les populations civiles de Croatie et de Bosnie&Herzégovine sont en réalité l’expression volontaire d’un scénario digne de Machiavel, pensé longtemps à l’avance, par les dirigeants serbes. Slobodan Milosevic, l’homme qui domina la vie politique en Serbie depuis 1987, en fut le principal instigateur.