Un forum est organisé le 3 mars à Namur pour rassembler toutes personnes intéressées par le projet (voir programme sur le site). 1. Contexte Au début de l’été 2004, Patrice […]
Nous, soussignés, assujettis à l’impôt sur le revenu, et pour certains d’entre nous, à l’impôt de solidarité sur la fortune, considérons ces prélèvements comme légitimes et sommes fiers d’apporter ainsi […]
En novembre 2006, un groupe composé de journalistes, d’étudiants et d’un chef d’entreprise distribuant des produits issus du commerce équitable a été à la rencontre de femmes du Burkina Faso. Organisées en coopérative (labellisée Max Havelaar), elles y développent la filière karité, manne financière non négligeable pour elles et pour leur pays (voir encadré). Reportage.
Un groupe de journalistes, soucieux de l’avenir de leur profession confrontée à une grave crise de crédibilité, a décidé de réfléchir à la faisabilité d’un Conseil de presse en France, […]
Depuis que je coordonne l’Alliance internationale de journalistes sans être moi-même du métier, je côtoie de près ce monde de la presse… A partir de ce que j’entends depuis deux ans, voici une question à partager : en formant le public à leurs techniques, en organisant comme à Place Publique des conférences de rédaction ouvertes, les journalistes ne sont-ils pas en train de saborder eux-mêmes leur métier ?
Tout le monde ne se retrouve pas dans la « grande presse ». Du coup, beaucoup d’autres manières d’informer coexistent : la presse « différente », « l’autre » presse, la presse « contestataire », « militante », « citoyenne », celle dite du « tiers secteur », « sociale », « alternative »… En quels termes peut-on définir ce que cachent ces « étiquettes » ? Quelles sont leurs ressemblances, leurs points de discordance ? Leur credo ? Leur identité ? Il n’y a pas une presse mais des presses. Il n’y a pas une définition mais des définitions.
Prendre un petit noir en terrasse, fauteuil en osier, table ronde, attendre impatiemment que le kiosque d’en face ouvre pour s’y précipiter, y trouver son quotidien préféré… Un drôle de rêve. J’aurais pourtant juré qu’il était ouvert hier.
Ces dernières années, les kiosques parisiens ont retrouvé, comme les fontaines Wallace ou les colonnes Morris, leur vert inimitable. Tout neufs, tout propres, ils sont toujours là : 380 sont sur le trottoir et 277 très exactement, sont ouverts, fin novembre 2006. Portraits croisés de kiosquiers parisiens.