Alignement sur des valeurs d’innovation et de partage, création de sens, utilité sociale… Les futurs jeunes diplômés sont de plus en plus tentés par un emploi qui pourrait se réaliser hors des clous financiers.
A l’approche de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes du 25 novembre, une étude sans précédent en France et en Europe pose pour la première fois la question du rôle de l’entreprise dans la lutte contre les violences (verbales, psychologiques, sexuelles, physiques, économiques, administratives…) perpétrées sur les salariées en dehors du lieu de travail.
Un enjeu économique, social et de compétitivité en mutation La santé des salariés en entreprise a un véritable impact final pour l’assurance maladie mais également pour la santé. Selon une […]
Note de presentation du rapport 2015 de l’OCQD
Le soir du 5 novembre 2015, l’Observatoire citoyen de la qualité démocratique (OCQD) participait, en tant que « finaliste », à la remise du prix de la démocratie, attribué par l’Institut Marc Sangnier au Groupement étudiant national d’enseignement aux personnes incarcérées (GENEPI). Le jury, en retenant l’OCQD parmi les finalistes, a marqué la qualité du travail accompli, concrétisé par les rapports 2013 et 2014, et confirmé l’intérêt de cette contribution à l’amélioration de la démocratie dans notre pays : relever les forces et les faiblesses de notre vie démocratique, observer comment sont préparées les élections et ce que signifient leurs résultats, suivre la manière dont sont conduites certaines réformes, s’interroger sur le rôle des médias, mettre en évidence la vitalité et la créativité démocratiques de la société civile sans cacher ses difficultés, c’est prendre le recul suffisant pour tirer les leçons des faits advenus au cours d’une année et ainsi préparer l’avenir politique de notre pays.
L’engouement pour le concept de « ville intelligente » ainsi que la diversité des villes qui s’en sont emparées témoignent, au-delà d’un effet de mode, d’un renouveau du questionnement sur le devenir des villes. Ce qui motive ce renouveau et justifie l’émergence de la Smart City en tant que nouvel idéal urbain ? La concomitance et la rencontre de deux phénomènes planétaires.
Aujourd’hui près de 10 milliards d’euros, soit un demi-point de PIB, sont consacrés en France au soutien à l’innovation par les différents acteurs publics : État, collectivités territoriales et Europe. Si l’effort financier est considérable, il ne faut pas oublier que le choix et le calibrage des instruments des politiques d’innovation sont également des facteurs essentiels de l’efficacité de ce soutien.
La commission nationale d’évaluation des politiques d’innovation (CNEPI), présidée par Jean Pisani-Ferry a pour mission d’améliorer l’efficacité et l’efficience des politiques d’innovation. Elle présente aujourd’hui la première étape de son travail : un état des lieux des dispositifs existants.
L’émergence de l’entrepreneuriat social inspire de plus en plus de dispositifs de soutien et de financement hybrides et territoriaux.
Une étude mondiale d’Infosys révèle les disparités concernant les perspectives de la jeunesse entre les pays émergents et développés, dans un monde confronté à la Quatrième Révolution Industrielle ou Industrie du futur. En comparaison avec les autres pays interviewés, 76 % des jeunes travailleurs français pensent que leurs perspectives d’emplois sont pires que celles de la génération de leurs parents.
Durant l’année 2015, 11 128 personnes se sont faites évacuées de force par les autorités de 111 lieux de vie. 410 personnes ont dû quitter cinq lieux de vie faisant suite à un incendie. Ces chiffres indiquent que 60 % des personnes recensées occupant des bidonvilles ont été évacuées de force durant l’année 2015, dont la moitié durant les mois de l’été.
Nous vivons une époque renversante où la versatilité des opinions et les doubles discours se propagent à la vitesse V. Sens dessus, dessous. Tous les jours, dans la dérision ou l’indifférence, nous observons que des propos opposés semblent étrangement familiers l’un à l’autre. Du pareil au même. Tout se vaut. Les rapports de force se bousculent. Les habitus s’emmêlent. Alliés un jour, adversaires le lendemain, les avis finissent par se confondre. Il n’y aurait donc plus d’opinion? Nonchalamment, sommes-nous enclins à penser tout et son inverse, pas loin de croire que les choses auxquelles nous accordons le plus de valeur naissent ironiquement de leur contraire.
Un récent dossier du COR dont nous publions ici la synthèse met en évidence quatre thématiques montantes dans la vie des retraités: le niveau de vie des retraités selon qu’ils vivent ou non en couple; le profil de niveau de vie au long du cycle de vie, compte tenu de l’âge des parents lorsque leurs enfants cessent d’être à charge ; les héritages, donations et aides financières entre parents et enfants ; enfin, l’opinion des retraités sur leur aisance financière et sur leur satisfaction dans la vie.
En définissant successivement, et dans l’ordre, les trois termes “économie”, “sociale” et “solidaire”, Hervé Defalvard, économiste, responsable de la chaire d’Economie sociale à l’Université de Paris-Est Marne-la-Vallée, propose une représentation unifiée de l’autre économie. Et en fait une réalité ouverte et évolutive.
Et si le travail devenait le lieu de son propre apprentissage ? Cette vision n’est pas nouvelle. Elle alimente depuis vingt ans les tenants de la didactique professionnelle. Et commence à intéresser le Législateur comme les partenaires sociaux.
Appelons-le Joseph ! Joseph ? Un mélange de Rouletabille et de… Philippe Merlant. Philippe Merlant est journaliste et acteur. Pendant deux heures, sur l’estrade du théâtre de la Contrescarpe, fort de ses 40 ans d’expérience de la presse et de journaliste engagé, il nous fait participer à une aventure mi-policière, mi-intellectuelle, rondement menée, avec la complicité de Joseph Rouletabille, le petit reporter du journal L’Epoque, habile et méthodique, capable de trouver « le bon bout de la raison ». Joseph s’interroge : Pourquoi les journalistes sont souvent du côté des pouvoirs ? Comment expliquer ce mystère de la défiance des publics dans le travail des journalistes ? Quelles sont les solutions pour regagner la confiance ?