« Le monde que nous voulons : quelles visions pour l’après 2015 ? » C’est la question inaugurale posée dans le cadre du Forum mondial Convergences, qui s’est tenu à Paris du 17 au 19 septembre 2013. Question d’autant plus prégnante qu’à près de deux ans de l’échéance des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), le futur cadre international n’est pas encore vraiment fixé.

Yan de Kerorguen ARTICLES

Le prix International récompense le partenariat entre Gevalor – Madacompost – Goodplanet – ETC Terra

Claire Marzin Le Magazine

VivAgora et ses partenaires de l’Appel de la Jeunesse et du Réseau français des étudiants pour le développement durable (REFEDD) vous invitent à l’entrepôt pour : LA COURSE A LA […]

Yan de Kerorguen L'Agenda du réseau Place Publique

La machine à traquer les étrangers tourne à plein régime, dans l’Oise, en particulier, et partout. Des parents, pères d’enfants scolarisés pour certains, sont expulsés, ou menacés de l’être. M. […]

Anne Dhoquois DIVERS

J’ai pris ma retraite il y a un peu plus d’un an. Face à la réforme actuelle qui ressemble plutôt à une non-réforme et suscite une multitude de contre-réformes, je me demande si je dois me réjouir d’être passé entre les gouttes, me scandaliser de l’incapacité de tous les « partenaires » sociaux et autres décideurs de regarder la réalité en face ou aller cultiver mon potager pour parvenir à l’autosubsistance…

Bruno Tilliette GENERATION

L’été 2013 était encore celui de Pékin : une croissance de 7,7% meilleure que prévue[1], un moral des entrepreneurs solide[2], un procès anti-corruption très suivi[3], le plus grand centre commercial au monde[4]…Pourtant, parmi ces chiffres enthousiasmants, l’analyse de certains indicateurs chinois comme le revenu par tête (de 6 à 7000$) met en évidence des écarts régionaux de 1 à 10[5]. Des inégalités symptomatiques d’une bulle immobilière en zones côtières et urbaines. Cette bulle spéculative est la contagion de la crise de 2008. La macroéconomie globale, en stagflation, voit ses flux de capitaux perpétuellement redistribués entre microéconomies régionales volatiles en circuit fermé. Un phénomène moderne de jeu à somme nulle illustré par le concept anglo-saxon d' »Economie globulaire », encore peu connu dans le monde francophone, qui assimile l’économie mondiale à un corps humain : les capitaux alimentent les marchés par la monnaie comme l’oxygène les organes par le sang. L’enjeu étant de discerner les globules, ou capitaux sains, des bulles causes d’embolie, ou capitaux inflationnistes, sans en gêner la circulation.

Yan de Kerorguen ECONOMIE

Ancien vice-président de la Banque mondiale pour l’Asie et de l’Agence Française de développement, Jean-Michel Severino est Président de Convergences 2015. Membre du Haut Panel des Nations Unies chargé de travailler sur l’agenda post-2015 des objectifs du millénaire pour le développement (OMD), il défend une approche globale de la lutte contre la pauvreté.

Muriel Jaouën ENVIRONNEMENT

On ne peut dissocier le projet économique de l’ESS (s’associer pour entreprendre) de son projet social (justice et démocratie). On ne peut donc réduire son rôle, son poids et sa contribution aux seuls indicateurs économiques de la richesse, au nombre d’entreprises qu’elle a créée et au nombre d’emplois générés (plus de 10 % du PIB mondial). On ne peut non plus évaluer l’évolution économique des états et des entreprises au seul jugement des agences de notation sociale et financière. Les tenants d’une « autre économie » sont conduits à se poser la question d’un changement des règles du jeu qui remette l’homme au coeur des projets.

Yan de Kerorguen ECONOMIE

Le Président de la République et le gouvernement ont lancé le 19 août dernier l’élaboration d’un projet stratégique pour « la France en 2025 ». Le tout nouveau Commissariat à la stratégie et à la prospective doit remettre en fin d’année un document sur ce sujet, après concertation et débat.

Yan de Kerorguen ETUDE

Positif ! En cette rentrée de septembre, le mot est dans tous les esprits. Qu’il s’agisse du mouvement pour l’économie positive avec la publication du « Positive Book » (à l’initiative de PlaNet Finance, publié par Publishing). Ou du Forum Mondial Convergences qui se tient à Paris du 17 au 19 septembre. Ou des idées développées par Thierry Janssen qui avance qu’« au lieu de ne voir en l’être humain que des manques et des défauts, il paraît urgent de rappeler que nous sommes les détenteurs d’un potentiel extrêmement positif. (« Une autre manière de parler du bonheur et de la bonne santé ». Editions Les Liens qui Libèrent, 2011). Ou encore de la poussée optimiste incarnée par le mouvement de la « VieShare » et de la « Co-révolution » décrit par Anne Sophie Novel ou Antonin Leonard. Jusqu’à l’optimisme affiché du Président François Hollande.

Yan de Kerorguen EDITO

Ce n’était plus seulement une espérance. A l’issue d’un XXème siècle maintes fois souillé par des crimes contre l’humanité et des génocides, l’exigence que justice soit faite contre les grands responsables de ces atrocités l’avait emporté sur les frilosités et les calculs politiques. Naissaient alors les premières juridictions pénales internationales : le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) en 1993 et celui pour le Rwanda (TPIR) l’année suivante. Puis le projet d’une juridiction permanente, si longtemps avorté, aboutissait avec l’établissement en 1998 de la Cour Pénale Internationale (la CPI), entrée en fonction en juillet 2002. Le XXIème siècle ne promettait pas encore la fin des crimes de masse mais celle de l’impunité pour les gouvernants qui outragent l’humanité. Cette avancée majeure du droit international finirait nécessairement par faire œuvre de prévention à l’adresse des dictateurs et de ceux tentés de les imiter. Telle était non pas l’espoir mais la volonté d’une époque.

Place Publique CITOYENNETE

A la demande du Président de la République, le Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) a préparé un document de réflexion intitulé « Quelle France dans dix ans ? » dont le Commissaire général Jean Pisani-Ferry a présenté les grandes lignes en introduction du séminaire intergouvernemental du 19 août.

Yan de Kerorguen ECONOMIE

« La mer lave tous les maux des hommes », écrivait Platon. A y regarder de plus près, à l’aune de nos connaissances scientifiques, ce que dit le philosophe grec est de plus en plus d’actualité. L’avenir de la santé est, pour une bonne part… dans l’eau !

Yan de Kerorguen Le Magazine

Communiqué du Collectif Roosevelt Aucune excuse, ils n’ont aucune excuse. 55.000 chômeurs de plus (catégories A, B et C) en juillet malgré 53.000 radiations administratives et le gouvernement trouve que […]

Place Publique DIVERS

Sénatrice de la Seine-Maritime (Union des Démocrates et Indépendants- UDI), Catherine Morin-Desailly* est l’auteure du rapport «Union Européenne, Colonie du monde numérique » publié au mois de février 2013 au nom de la commission des affaires européenne. Les récentes révélations sur l’affaire PRISM de l’agence de sécurité américaine viennent l’éclairer d’un jour nouveau.

Place Publique A LA UNE

Echanges universitaires franco-chinois : un engouement pour la France «Chen Wu est venue nous trouver et nous a demandé d’être acceptée pour entrer en master of Law ou LLM (du latin Legum Magister […]

Place Publique ARTICLES

« Le choc des temps. L’économie mondiale, entre urgences et long terme », tel était le thème de la 13e édition des Rencontres Économiques d’Aix-en-Provence organisées par le Cercle des économistes dans le cadre de l’Université d’Aix-Marseille, de Sciences Po Aix et du Festival d’Aix-en-Provence.

Yan de Kerorguen ECONOMIE

Les 13e Rencontres Economiques d’Aix-en-Provence Le choc des temps – 5, 6 et 7 juillet 2013 Le défi, au-delà du court-terme : réinventer une croissance équilibrée Les 13e Rencontres économiques […]

Yan de Kerorguen L'Agenda du réseau Place Publique

Selon une étude menée pour Crucial.fr, près d’un français sur deux (47.2%) emporterait son ordinateur en vacances ! Et cet été, 63.4% d’entre eux utiliseront leur ordinateur en moyenne plus de 30 minutes par jour en vacances.

Yan de Kerorguen ETUDE

Pourquoi ce gouvernement s’en prend-il au statut d’autoentrepreneur, avec la volonté, semble-t-il, de le rendre inopérant à terme ? Pour défaire ce que le gouvernement précédent a fait ? Pour répondre à la pression du lobbying des artisans qui le considère comme une concurrence déloyale ?

Bruno Tilliette ECONOMIE