Une étude « Les Français et la politique industrielle de la France » réalisée par OpinionWay pour OPEO (www.opeo-conseil.fr) et dévoilée le 9 novembre 2016, à l’occasion des Rencontres pour la Compétitivité Industrielle, mesure la perception qu’ont les Français du secteur industriel. Dans un contexte d’élections nationales qu’est ce que les Français identifient comme atouts et faiblesses de l’industrie en France ?
Confronté à la convergence de changements majeurs, victime de la baisse généralisée des taux de fréquentation et du manque de soutien des pouvoirs publics, le Spectacle Vivant manquait d’un outil pour gagner en visibilité. Voilà qui est fait avec Entrée Directe, un moteur de recherche qui vient de voir le jour.
Le très sinistre Robert Ménard, ci-devant maire de Béziers – qu’on devrait plutôt dire d’extrême dextre, même s’il vient effectivement de la gauche, comme les mauvais présages (c’est l’origine du mot « sinistre ») – a récemment fait placarder, sur les murs de sa ville, une écœurante affiche où l’on voit un groupe de personnes, d’évidente origine maghrébine ou moyen-orientale sur fond de cathédrale biterroise, avec pour légende menaçante : « Ils arrivent ! », sous-entendu « comme des envahisseurs ».
En émergence depuis peu, les écosystèmes symbiotiques sont encore rares, mais en plein développement. Favorisées par les technologies du numérique et les théories du partage, les initiatives s’insèrent dans les grandes villes à New York, Montréal, («the Hub») à Bruxelles, à Londres, ou Toronto («Centre for social innovation»), à Berlin, à Bâle («Gundeldinger Feld») ou encore à Lisbonne («LX Factory»).
Un des grands problèmes auxquels sont confrontées les sociétés modernes est la confrontation entre deux modèles : celui de la préservation de l’identité des racines et celui de la poussée des identités multiculturelles. L’éthique de la raison universelle nous oblige à trouver les justes proportions entre ces deux réalités.
A quelques semaines de la COP 22 qui vise à concrétiser engagements pris et changements à adopter par la communauté internationale et tous les acteurs de la société en matière de changements climatiques, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a souhaité mettre en avant un enjeu figurant désormais dans le préambule de l’Accord de Paris, celui de « justice climatique ».
Inversion, paradoxe, contrevérité, discordance, antagonisme, antonymie, renversement, quiproquo, contraste, versatilité, oxymore, ambivalence…ce vocable instable des figures du « tout et son contraire » peuple notre époque. Il trame notre langage et nos comportements, sans que nous nous en apercevions toujours. Notre nature va de volte-faces en contresens, réunir des inconciliables, au gré de nos ambivalences. La dualité en chaque homme est reconnue par toute la sociologie classique et avant elle par la philosophie, Adam Smith, Emile Durkheim, Alexis de Tocqueville ou Max Weber tout autant que par Leibniz ou Kant. Elle s’est aujourd’hui installée en profondeur dans les postures de chacun, signe de la schizophrénie ambiante.
Le chômage est à ce jour la première préoccupation des Français. En mai 2016, 5,69 millions de Français étaient inscrits en tant que demandeurs d’emploi, dans les catégories A, B et C. Ce fléau touche de manière très brutale les travailleurs peu qualifiés, les jeunes, les femmes, les séniors, ainsi que les personnes en situation de handicap. Depuis la crise de 2008, le taux de chômage a augmenté de près de 50% dans notre pays.
« Moi, égo, unique, en mon royaume, souverain dans l’égocentrisme de mon selfie (selfish) », tel est le crédo de Narcisse numericus qui prolifère, seul maître à bord, sur la toile du peuple internaute. Et quand « il pense » (donc il est, selon Descartes), c’est seul dans son coin, avec son autoportrait, enfermé dans son cogito.
Pour les sociétés dont le développement est basé sur l’innovation, la protection de la propriété intellectuelle est une question primordiale. Des années d’investissements en recherche et développement peuvent passer en pure perte lors de la sortie d’un produit dont les spécificités seraient mal protégées. Quelle stratégie adopter face à une concurrence qui n’hésite pas à profiter de chaque faille ?
Dans un climat de perte de confiance envers tous les acteurs économiques, la santé, le bien-être, le local et le social se renforcent et apparaissent plus que jamais comme les préoccupations majeures des Français. L’Etude Ethicity-GreenFlex* sur la consommation responsable, soutenue par l’ADEME, et référente en France depuis 2004, a mené son enquête post COP21. Réalisée auprès de 4100 répondants, elle dévoile des résultats surprenants et de nouveaux sujets d’analyses.
Une étude internationale réalisée par Forum Vies Mobiles
sur les « Aspirations liées à la mobilité et aux modes de vie » montre :
Un désir de rupture avec les modes de vie contemporains
Le principal enseignement est qu’aux quatre coins du monde, les gens souhaitent une rupture dans leurs modes de vie. Ils aspirent à plus de proximité et à ralentir.
Près de 17 % des piétons utilisent leur smartphone dans leurs déplacements urbains. Ce chiffre s’élève à près de 22 % pour les jeunes femmes parisiennes (25/35 ans). Les plus jeunes sont souvent plus distraits que leurs ainés.
Amsterdam est la ville où l’utilisation des smartphones est la plus faible, Stockholm la plus élevée. C’est ce que révèle une Enquête de l’Unité de Sécurité routière DEKRA dans six capitales européennes