L’architecte Jean-Michel Wilmotte, Jean-Louis Missika, maire adjoint de Paris chargé du développement économique et du Grand Paris, Jonathan Curiel. Directeur général de Paris Première, Alexia Fabre. Conservateur en chef du Mac Val, Jean-Baptiste Douin. Responsable des activités de la banque privée J.P.Morgan, installée depuis 1868 dans la capitale. Ils sont des acteurs du Paris qui bouge.
A quelques semaines de la COP21, 200 signataires, dont Jean Pisani-Ferry, commissaire général de France Stratégie, 71 auteurs principaux du Giec et le prix Nobel d’économie Kenneth Arrow, appellent à un « moment de vérité. Selon eux, il faut reconnaître « la valeur économique et sociale des actions de réduction du CO2 » et l’intégrer dans diverses initiatives.
Les temps ont bien changé. Après des années « d’apostolat » destinées à faire valoir avec plus ou moins de succès l’utilité des technologies de l’information pour préserver la compétitivité et la productivité d’un secteur tertiaire en pleine ébullition, ces technologies sont désormais largement diffusées dans l’ensemble de la société. Pas une revue, une émission, un diner qui puisse échapper au sujet, à l’objet technologique, ses applications et ses implications.
Dans une lettre envoyée à Emmanuel Macron, l’association HOP réclame la publication des rapports sur l’obsolescence programmée. Alertés par HOP, plusieurs Sénateurs ont, d’ores et déjà, demandé les documents par le biais de questions écrites adressées au Gouvernement.
En 2015, 66% des consommateurs dans le monde se déclarent prêts à payer plus cher pour des produits issus d’entreprises engagées dans le développement durable (contre 55% en 2014). Une attente particulièrement forte au sein de la génération Y (21-34 ans) où ce pourcentage atteint 73%.
Avec l’accord cadre de partenariat pour développer des financements innovants dans les pays du Sud, signé entre le Crédit Coopératif et l’Agence Française de Développement, les partenaires s’engagent à coopérer sur des projets menés dans les pays en développement pour lesquels leurs compétences, actions et expertises s’avèrent être complémentaires.
Tel est le titre d’un livre publié par France Stratégie. Dans cet ouvrage, France Stratégie préconise la mise en place d’une politique volontariste afin de diviser par deux la proportion des adultes en situation d’illettrisme à l’horizon de dix ans, soit de ramener le taux de 7 % à 3,5 % de la population.
En l’espace d’une génération, la baisse du taux de mortalité infantile dans le monde a plus que doublé et 38 millions de vies supplémentaires pourront être sauvées d’ici 2030 si les progrès s’accélèrent conformément aux Objectifs de développement durable (ODD) que les dirigeants du monde s’apprêtent à adopter ce mois-ci.
Alors que l’Union Européenne a annoncé un durcissement de ses objectifs en faveur du climat, que le nombre d’accords climatiques est sans précédent et que le nombre de pays engagés pour la COP21 ne cesse de grandir (aujourd’hui 75 Etats ont remis leur copie), la question de la relation entre territoires et entreprises apparaît comme centrale pour la définition d’un schéma global de transition vers une économie bas carbone.
Dans le cadre de la 1ère Edition « Les Trophées du bien-être », l’Institut de sondage Ipsos et Les Trophées du bien-être * se sont associés dans la mise en place d’une enquête de référence permettant de dresser un panorama global des rapports complexes qu’entretiennent aujourd’hui les Français avec leur bien-être afin de comprendre où ils en sont exactement, déterminer leur état d’esprit général, voir si leur niveau de bien-être s’améliore ou se détériore.
1 million de soutiens à une taxe ambitieuse sur les transactions financières Pétition remise au Président François Hollande A l’occasion d’une réunion de préparation à l’Assemblée Générale des Nations-Unies à […]
VITA NOVA, les 18 et 19 septembre 2015, à la Galerie Le Daume, 69 avenue Daumesnil 75012 Paris. Vous trouverez le programme sur le lien suivant : http://www.lefestivalvivant.org/images/pdf/vita_nova-programme.pdf VITA NOVA […]
New-York, le 3 septembre 2015 – Les images déchirantes de corps d’enfants rejetés par la mer sur les rives de l’Europe… gisant à l’arrière de camions franchissant les frontières… passés à travers des barbelés par des parents désespérés…
Durant les dernières décennies notre système de santé a été amené à se transformer radicalement sous la poussée des découvertes de l’industrie pharmaceutique. Les progrès de la biotechnologie qui ont facilité les séquençages, ceux de l’exploitation des données, ont accompagnés la découverte de nouvelles molécules. Enfin, le mariage entre les industries pharmaceutiques et les grands opérateurs informatiques du Big Data aura donné une impulsion toute particulière à cette mutation qui consiste à maintenir « le capital-santé de l’individu plutôt qu’à le soigner lorsqu’il est malade ». Tous ces acteurs ont compris et contribué à la naissance d’un «business» très contemporain : vous empêcher de tomber malade !