Faire ensemble 2020 : 28-29 novembre 2013 à Paris Les inscriptions à l’université sont ouvertes ! Nous vivons une prodigieuse transition entre un monde qui n’est déjà plus et un […]
Dans le débat européen, la Grèce semble se résumer à ses 321,6 milliards d’euros de dettes, sa fraude généralisée, ses manifestants quelquefois violents, ses 27,6 % de chômeurs, ses 21,4 % de pauvres. En Grèce même, certains s’abandonnent aux théories de la conspiration, tous détestent cordialement la troïka, la majorité souffre … mais beaucoup se retroussent les manches : il existe aussi une Grèce de l’entraide et de l’innovation, une Grèce qui entreprend.
En Grèce, plus personne n’attend de solution venant de l’Etat. Les Grecs renouent avec les principes vieux de 2500 ans qui ont fait naître la première démocratie à Athènes : ils s’associent localement en citoyens et prennent leurs affaires en main eux-mêmes.
Portraits de ces Grecs qui créent de nouvelles structures pour s’entraider et produire ensemble.
Il y a les entrepreneurs par défaut ou par nécessité, faute d’opportunités d’embauche. Et il y a les entrepreneurs par goût et passion. Au point d’avoir le courage de quitter leur poste à responsabilités à l’étranger pour rentrer en Grèce et créer leur propre affaire.
Ceux-ci se posent cette question : qu’ai-je envie de faire de ma vie ?
Une étude internationale sur les compétences des adultes publiée par l’OCDE et la Commission européenne souligne la nécessité d’améliorer l’éducation et la formation
Les Français se montrent plus réservés que la moyenne envers l’enseignement disponible, révèle un sondage Nielsen. Seulement 56% d’entre eux estiment que le système éducatif favorise l’insertion professionnelle.
La France et les pays d’Europe sont devant des choix énergétiques majeurs : le passage d’un monde dominé par les énergies fossiles et le nucléaire vers un nouveau monde économe, préservant l’environnement et tourné vers les sources d’énergies renouvelables. On appelle ce mouvement « la transition énergétique ». Mais ce chantier phare des gouvernements d’Europe est-il partagé ?
La deuxième Conférence environnementale pour la transition écologique s’est tenue les
20 et 21 septembre derniers, au Conseil Economique,
Social et Environnemental.
Ouverte par le président de la République, clôturée
par le Premier ministre, elle a
rassemblé les parties prenantes de la transition écologique autour de cinq tables rondes,
co-présidées par treize ministres pendant deux demi-journées.
Ces tables rondes se sont tenues dans le format du
nouveau Conseil national de la
transition écologique (CNTE), qui comprend désormais un collège de parlementaires, en
plus des autres collèges : organisations syndicales
, organisations d’employeurs,
associations représentant les collectivités locales
et associations non gouvernementales
environnementales.
Les mesures de la feuille de route 2013 sont issues
des travaux préparatoires avec les
parties prenantes et des débats menés au sein des cinq tables rondes, chacune présidée
par plusieurs ministres, assistés d’un facilitateur
.
Fruit de la diversité des échanges tout au long de
cette Conférence, cette nouvelle feuille
de route va guider le travail du Gouvernement sur ces thèmes.
Le CNTE sera régulièrement informé de la mise en œuvre de cette feuille de route et sera
étroitement associé à la préparation de la prochaine Conférence environnementale pour
la transition écologique.
Les priorités, objectifs à atteindre et méthodes proposées sont :
Comme chaque année depuis 2010, l’été a marqué le début de violentes attaques racistes contre les Roms étrangers et les gens du voyage, citoyens français, qui s’accélèrent avec l’entrée dans la campagnes des élections municipales.
Marjolaine 2013 Cap sur la Transition : un plaidoyer pour l’avenir Face à la crise multi facettes qui ébranle la société, on peut se résigner, se révolter… ou se mettre […]
VivAgora et ses partenaires de l’Appel de la Jeunesse et du Réseau français des étudiants pour le développement durable (REFEDD) vous invitent à l’entrepôt pour : LA COURSE A LA […]
En pleine discussion de la loi Alur à l’Assemblée Nationale, le jugement du tribunal d’instance du 10e arrondissement renoue avec ceux des années 90, qui accordaient régulièrement aux squatteurs un délai avant expulsion.
On critique souvent nos chers élèves pour leur manque d’esprit critique ou pire, leur manque d’imagination. On les présente, au fond, comme des Français en miniature : râleurs, arrogants et finalement conservateurs. Et l’on n’a pas forcément tort… Le problème est que nos élèves, notre école, nous renvoient exactement ce que nous leurs transmettons. Autrement dit, ils ne sont que le produit d’une société dont nous, les adultes, sommes responsables en premier…
On ne peut dissocier le projet économique de l’ESS (s’associer pour entreprendre) de son projet social (justice et démocratie). On ne peut donc réduire son rôle, son poids et sa contribution aux seuls indicateurs économiques de la richesse, au nombre d’entreprises qu’elle a créée et au nombre d’emplois générés (plus de 10 % du PIB mondial). On ne peut non plus évaluer l’évolution économique des états et des entreprises au seul jugement des agences de notation sociale et financière. Les tenants d’une « autre économie » sont conduits à se poser la question d’un changement des règles du jeu qui remette l’homme au coeur des projets.
Positif ! En cette rentrée de septembre, le mot est dans tous les esprits. Qu’il s’agisse du mouvement pour l’économie positive avec la publication du « Positive Book » (à l’initiative de PlaNet Finance, publié par Publishing). Ou du Forum Mondial Convergences qui se tient à Paris du 17 au 19 septembre. Ou des idées développées par Thierry Janssen qui avance qu’« au lieu de ne voir en l’être humain que des manques et des défauts, il paraît urgent de rappeler que nous sommes les détenteurs d’un potentiel extrêmement positif. (« Une autre manière de parler du bonheur et de la bonne santé ». Editions Les Liens qui Libèrent, 2011). Ou encore de la poussée optimiste incarnée par le mouvement de la « VieShare » et de la « Co-révolution » décrit par Anne Sophie Novel ou Antonin Leonard. Jusqu’à l’optimisme affiché du Président François Hollande.
A la demande du Président de la République, le Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) a préparé un document de réflexion intitulé « Quelle France dans dix ans ? » dont le Commissaire général Jean Pisani-Ferry a présenté les grandes lignes en introduction du séminaire intergouvernemental du 19 août.
Communiqué du Collectif Roosevelt Aucune excuse, ils n’ont aucune excuse. 55.000 chômeurs de plus (catégories A, B et C) en juillet malgré 53.000 radiations administratives et le gouvernement trouve que […]