Durant les dernières décennies notre système de santé a été amené à se transformer radicalement sous la poussée des découvertes de l’industrie pharmaceutique. Les progrès de la biotechnologie qui ont facilité les séquençages, ceux de l’exploitation des données, ont accompagnés la découverte de nouvelles molécules. Enfin, le mariage entre les industries pharmaceutiques et les grands opérateurs informatiques du Big Data aura donné une impulsion toute particulière à cette mutation qui consiste à maintenir « le capital-santé de l’individu plutôt qu’à le soigner lorsqu’il est malade ». Tous ces acteurs ont compris et contribué à la naissance d’un «business» très contemporain : vous empêcher de tomber malade !
En décembre 2015, la France accueille à Paris la conférence des Nations Unies sur le climat, dite « COP 21 ». Cet événement est capital car la planète vit désormais à crédit sur le compte de l’environnement. Et les conséquences prévisibles sont incommensurables. Les associations se mobilisent pour exiger des mesures solides
De temps à autre, il m’arrive de citer cette phrase du poète Paul Valéry – « le temps du monde fini commence » (Regards sur le monde actuel. Stock. 1931). Sa pertinence m’aide dans mes tentatives optimistes de chercher dans l’inventaire des innovations sociales et dans le corpus de la science, des issues à l’inquiétante dérive de notre monde.
Genève / Skopje, 25 août 2015 – L’UNICEF a mis en place un espace adapté aux enfants appuyé par une équipe mobile, près de la ville de Geveglija, à la […]
On vient de retrouver le photojournaliste mexicain Rubén Espinosa, torturé et assassiné aux côtés de la militante des droits de l’homme Nadia Vera et de trois autres femmes. Au Mexique, […]
Aujourd’hui, bon nombre d’entreprises, qualifiées un peu abusivement de « disruptives », s’illustrent particulièrement sur des usages communs pour lesquels la valeur existante ne demandait qu’à être démultipliée. C’est le cas notamment de celles axées sur l’économie du partage, mais également de la plupart des modèles digitaux, qui, en quelque sorte, font « du neuf avec du vieux ».
Le mois dernier, dans cette chronique de vieillard atrabilaire, je m’interrogeais sur la réelle nécessité de continuer à apprendre le latin et le grec à l’école. Les défenseurs de cet enseignement m’apportent aujourd’hui un argument de plus pour confirmer que ça ne sert à rien, hélas !, puisque nous n’en tirons aucune leçon. Car ce sont les mêmes, ou à peu près, qui nous rebattent les oreilles sur les valeurs que transmettrait l’apprentissage du grec ancien, sur l’importance de comprendre nos origines politico-philosophiques et qui foulent aux pieds ces mêmes valeurs et origines en traitant les Grecs d’aujourd’hui comme de pauvres va-nu-pieds.
Le 11 juillet 1995, il y a 20 ans, la petite ville de Srebrenica en Bosnie était le théâtre d’un crime monstrueux dans une logique d’épuration ethnique. 7500 hommes et […]
Marche internationale pour la Paix | 20 ans du génocide de Srebrenica samedi 4 avril 2015 par BH Info | 1 Partagez sur FacebookTwittez cette information Pour les 20 ans […]