ECOCITY 2013 10e Sommet mondial de la ville durable à Nantes 3e Sommet mondial des Maires sur le climat NANTES A ACCUEILLI LES VILLES DU MONDE ENTIER Principales conclusions Une […]
Même si la démocratie directe n’est pas pour demain, ce que nous allons observer ici, c’est la perte d’influence des partis politiques qui, depuis le début des années 1970, ont vu leur appareil, leur base militante et leur légitimité tomber en déliquescence. D’autre part, l’évolution des sociétés modernes et des technologies de communication a bouleversé les pratiques politiques, en donnant une indépendance à la société civile, à des mouvements d’opinion et même à des petits groupes d’individus qui s’expriment et agissent en dehors des partis politiques. Ainsi, bloquée au sommet par une oligarchie corrompue, la démocratie directe s’infiltre dans les sociétés occidentales par d’autres voies.
La France et les pays d’Europe sont devant des choix énergétiques majeurs : le passage d’un monde dominé par les énergies fossiles et le nucléaire vers un nouveau monde économe, préservant l’environnement et tourné vers les sources d’énergies renouvelables. On appelle ce mouvement « la transition énergétique ». Mais ce chantier phare des gouvernements d’Europe est-il partagé ?
En l’an 2000, la communauté internationale a décidé de réduire la pauvreté dans le monde et de sauver des millions de vies. Elle a défini huit objectifs du millénaire pour le développement (OMD), à réaliser pour 2015. Ces objectifs ont trait à des questions telles que la pauvreté et la faim, l’éducation, l’égalité hommes-femmes, la santé, l’environnement, ainsi qu’à un partenariat mondial pour le développement.
Le rendez-vous est donné : la aura lieu du 25 au 27 septembre. Cet événement devenu incontournable ambitionne de rassembler, au Havre, des leaders du monde entier – universitaire, politique, […]
« Le monde que nous voulons : quelles visions pour l’après 2015 ? » C’est la question inaugurale posée dans le cadre du Forum mondial Convergences, qui s’est tenu à Paris du 17 au 19 septembre 2013. Question d’autant plus prégnante qu’à près de deux ans de l’échéance des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), le futur cadre international n’est pas encore vraiment fixé.
Et si on vous parlait de biodiversité ? 1er Colloque des collines de la biodiversité, Belvézet, Chap.I, vendredi 20 septembre Le respect de la biodiversité est un engagement, un pari […]
L’été 2013 était encore celui de Pékin : une croissance de 7,7% meilleure que prévue[1], un moral des entrepreneurs solide[2], un procès anti-corruption très suivi[3], le plus grand centre commercial au monde[4]…Pourtant, parmi ces chiffres enthousiasmants, l’analyse de certains indicateurs chinois comme le revenu par tête (de 6 à 7000$) met en évidence des écarts régionaux de 1 à 10[5]. Des inégalités symptomatiques d’une bulle immobilière en zones côtières et urbaines. Cette bulle spéculative est la contagion de la crise de 2008. La macroéconomie globale, en stagflation, voit ses flux de capitaux perpétuellement redistribués entre microéconomies régionales volatiles en circuit fermé. Un phénomène moderne de jeu à somme nulle illustré par le concept anglo-saxon d' »Economie globulaire », encore peu connu dans le monde francophone, qui assimile l’économie mondiale à un corps humain : les capitaux alimentent les marchés par la monnaie comme l’oxygène les organes par le sang. L’enjeu étant de discerner les globules, ou capitaux sains, des bulles causes d’embolie, ou capitaux inflationnistes, sans en gêner la circulation.
Ancien vice-président de la Banque mondiale pour l’Asie et de l’Agence Française de développement, Jean-Michel Severino est Président de Convergences 2015. Membre du Haut Panel des Nations Unies chargé de travailler sur l’agenda post-2015 des objectifs du millénaire pour le développement (OMD), il défend une approche globale de la lutte contre la pauvreté.
On ne peut dissocier le projet économique de l’ESS (s’associer pour entreprendre) de son projet social (justice et démocratie). On ne peut donc réduire son rôle, son poids et sa contribution aux seuls indicateurs économiques de la richesse, au nombre d’entreprises qu’elle a créée et au nombre d’emplois générés (plus de 10 % du PIB mondial). On ne peut non plus évaluer l’évolution économique des états et des entreprises au seul jugement des agences de notation sociale et financière. Les tenants d’une « autre économie » sont conduits à se poser la question d’un changement des règles du jeu qui remette l’homme au coeur des projets.
Communiqué du Collectif Roosevelt Aucune excuse, ils n’ont aucune excuse. 55.000 chômeurs de plus (catégories A, B et C) en juillet malgré 53.000 radiations administratives et le gouvernement trouve que […]
Echanges universitaires franco-chinois : un engouement pour la France «Chen Wu est venue nous trouver et nous a demandé d’être acceptée pour entrer en master of Law ou LLM (du latin Legum Magister […]
En amont de la conférence sociale des 20 et 21 juin prochain, la Fondation Nicolas Hulot publie une note* pour rappeler les liens étroits qui unissent les questions sociales et écologiques.