A quoi ressembleront les villes de demain? Géantes, concentrées ou au contraire diffuses, étalées, ou encore en grappes…? De multiples variantes sont envisageables. Alors que 75% de la population mondiale devrait vivre en ville en 2050, il est nécessaire d’envisager dès aujourd’hui de réduire au maximum l’impact sur l’environnement.
La réponse mérite un ouvrage entier tant il est vrai que la poussée fulgurante de l’urbanisme et de la démographie pose de graves problèmes à l’environnement. Etant difficilement concevable de raser toutes les villes actuelles pour les rebâtir de façon adaptée, répondre à cette question suppose, pour les sociologues et les spécialistes des transports, d’inventer une nouvelle urbanité.
Du 10 au 14 juin 2009 Tourisme solidaire, commerce équitable et environnement : journées d’Angers Le commerce équitable et le tourisme solidaire connaissent depuis une dizaine d’années un développement important. […]
Le Conservatoire National des Arts et Métiers (Cnam), en partenariat avec la direction générale de la santé (DGS), l’Association Vivagora et le Journal de l’Environnement, vous invite à participer à […]
Croyez-vous que le plan de relance économique du Président Obama, par la croissance verte (environnement, santé, éducation) est de nature à dynamiser l’économie mondiale ?
On ne parle jamais vraiment des entreprises, de l’intérieur. Vingt-cinq millions de personnes en France, y vivent une grande part de leur existence mais ce n’est pas, semble-t-il, un bon sujet de roman.
Un monde qui tolère les paradis fiscaux, l’anonymat des sociétés offshore et le blanchiment de l’argent « hors-les-lois » dont se nourrissent le terrorisme ou d’autres formes de criminalité n’est pas un monde sûr.
Et pourtant, la plupart des grandes entreprises des pays riches possèdent des filiales dans ces centres offshore où circule en toute quiétude l’argent de la drogue et des trafics en tous genres. Les grandes entreprises françaises n’échappent pas à la règle. Elles ont su bénéficier de la bienveillance politique monétaires laxiste des gouvernements concernés et profiter de l’opacité règnant en ce domaine
Avec pratiquement 1 500 filiales offshore, réparties sur près d’une trentaine de territoires, des Bermudes à la Suisse en passant par Malte et Panama et… le Royaume-Uni, toutes les entreprises françaises du CAC 40 sont présentes dans les pays offrant des services financiers de type « paradis fiscaux ».
C’est ce que révèle une enquête exclusive de la revue Alternatives Economiques, un des rares médias économiques à lever le voile sur l’indécence du capitalisme financier.
Avec son autorisation amicale nous publions ici ces éléments.
Empreintes digitales ou implants ? Pour s’acquitter de nos dépenses, plus besoin de sortir son porte-monnaie, ni même sa carte de crédit, encore moins son chéquier.