par Yan de Kerorguen Révolution? Utopie ? Mutation anthropologique ou tout simplement symptôme d’une époque qui, faute de projet, idéalise le dépassement de soi ? Il y a autant d’avis […]
Chronique de Pierre Le Roy La CIA n’est pas seulement un centre d’espionnage spécialisé dans les coups plus ou moins tordus. C’est aussi le siège de la « National Intelligence Council » […]
Alors que 75 Etats ont remis leur copie, la question de la relation entre territoires et entreprises apparaît comme centrale pour la définition d’un schéma global de transition vers une économie bas carbone.
Selon le COE, moins de 10% des emplois cumulent des vulnérabilités qui pourraient en menacer l’existence dans un contexte d’automatisation. La moitié des emplois existants pourrait voir son contenu notablement ou profondément transformé.
La gestion des déplacements des salariés n’est pas une priorité pour les entreprises ; c’est ce que révèle une étude du Forum Vies Mobiles. Et lorsqu’elles s’en occupent, elles en ignorent largement les conséquences sociales et environnementales (fatigue accumulée dans les transports, séparation des familles, burn-out, pollution…).
Airbnb est-il l’arbre qui cache la forêt d’une uberisation rapide de l’économie du logement ? Loin s’en faut, nous répondent en substance Bernard Vorms et Pierre-Yves Cusset. Alors qu’on lui prédisait le même sort que les agences de voyages et les courtiers en valeurs mobilières, le modèle traditionnel de l’agence résiste… et même contre-attaque. La situation est-elle tenable et à quel prix ?
Une étude « Les Français et la politique industrielle de la France » réalisée par OpinionWay pour OPEO (www.opeo-conseil.fr) et dévoilée le 9 novembre 2016, à l’occasion des Rencontres pour la Compétitivité Industrielle, mesure la perception qu’ont les Français du secteur industriel. Dans un contexte d’élections nationales qu’est ce que les Français identifient comme atouts et faiblesses de l’industrie en France ?
En émergence depuis peu, les écosystèmes symbiotiques sont encore rares, mais en plein développement. Favorisées par les technologies du numérique et les théories du partage, les initiatives s’insèrent dans les grandes villes à New York, Montréal, («the Hub») à Bruxelles, à Londres, ou Toronto («Centre for social innovation»), à Berlin, à Bâle («Gundeldinger Feld») ou encore à Lisbonne («LX Factory»).
A quelques semaines de la COP 22 qui vise à concrétiser engagements pris et changements à adopter par la communauté internationale et tous les acteurs de la société en matière de changements climatiques, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a souhaité mettre en avant un enjeu figurant désormais dans le préambule de l’Accord de Paris, celui de « justice climatique ».
Inversion, paradoxe, contrevérité, discordance, antagonisme, antonymie, renversement, quiproquo, contraste, versatilité, oxymore, ambivalence…ce vocable instable des figures du « tout et son contraire » peuple notre époque. Il trame notre langage et nos comportements, sans que nous nous en apercevions toujours. Notre nature va de volte-faces en contresens, réunir des inconciliables, au gré de nos ambivalences. La dualité en chaque homme est reconnue par toute la sociologie classique et avant elle par la philosophie, Adam Smith, Emile Durkheim, Alexis de Tocqueville ou Max Weber tout autant que par Leibniz ou Kant. Elle s’est aujourd’hui installée en profondeur dans les postures de chacun, signe de la schizophrénie ambiante.
Dans un climat de perte de confiance envers tous les acteurs économiques, la santé, le bien-être, le local et le social se renforcent et apparaissent plus que jamais comme les préoccupations majeures des Français. L’Etude Ethicity-GreenFlex* sur la consommation responsable, soutenue par l’ADEME, et référente en France depuis 2004, a mené son enquête post COP21. Réalisée auprès de 4100 répondants, elle dévoile des résultats surprenants et de nouveaux sujets d’analyses.