Stéphane est enseignant en Russie. En avril 2006, il a demandé à ses étudiants d’écrire leurs réactions au sujet des émeutes en France. Réaction n°1 écrite par un étudiant de […]
Depuis quatre ans, en juillet, le centre de vacances installé à Daglan (Dordogne) propose à une quarantaine de jeunes, de 11 à 14 ans, de Saint-Denis et La Courneuve (93), des « ateliers philo ». Chaque jour, après le repas de midi, Clara Guenoun, assistante sanitaire, les invite à échanger leurs réflexions et leurs paroles sur les thèmes qu’ils ont choisis. L’occasion de « s’apercevoir qu’ils peuvent être producteurs d’une pensée qui leur est propre, que cette pensée est une force quand elle est mise en mots, et que ce sont toutes ces pensées qui font l’humanité », explique Clara. Quelques extraits de la cuvée 2005 (les propos des adultes, animateurs du centre, ont été mis en italique).
Organisé par la ville de Nantes, Nantes métropole, Caisse des dépôts, Conseil général et régional…
Bonjour, Je pensais créer une association – « Cousins du Monde » – qui permettrait à des français de recevoir et devenir en quelque sorte famille d’accueil pour des étrangers séjournant en […]
Sophie Hancart se qualifie elle-même de « chômatrice » professionnelle. Sans emploi depuis cinq ans, mais très active bénévolement sur un site d’informations consacré au chômage, Sophie livre ses souffrances, ses renoncements mais aussi ses espoirs… Non sans redonner l’envie de se battre à quiconque s’identifiera à son parcours.
Organisé par Masterima
Organisé par le Groupe de Travail U.N.A.
Lettre ouvrete au président Monsieur le Président, Je termine actuellement mon contrat emploi jeune au sain d’une collectivité territoriale, dans lequel j’occupe de nouvelles missions (les NTIC) qui devraient se […]
Le CPE va permettre de créer de nombreux emplois stables. FAUX Le principal déterminant de l’embauche est le niveau de la demande. Les employeurs qui sont confrontés à une augmentation […]
Retour sur les violences urbaines. Un soir d’hiver, dans la grande salle de la mairie du 3ème arrondissement de Paris, une trentaine d’hommes et de femmes sont rassemblés. Ils discutent. Pas de position consensuelle à trouver, pas de motion à rédiger, pas de conclusion définitive à donner, seulement deux heures d’échanges à froid sur les « violences urbaines » de novembre dernier.