Selon le nouveau rapport économique de la plate-forme Glassdoor Economic Research, il existe un écart salarial significatif entre hommes et femmes en France, Allemagne, Australie, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis.
En France, 30 % des enfants de cadres sortent diplômés d’une grande école ou de l’université à un niveau bac +5 ou plus contre seulement 7 % des enfants d’ouvriers*. A l’occasion des 10 ans de l’Institut Télémaque, l’association dresse le bilan de son programme de parrainage individualisé du collège au baccalauréat, pour promouvoir les talents et favoriser la réussite des jeunes issus de milieux défavorisés. Objectifs : Dévoiler les impacts concrets et positifs du programme Télémaque sur la relance de l’ascenseur social et mobiliser les entreprises et l’Education nationale pour aller encore plus loin.
Il suffit de considérer quelques-uns des grands problèmes qui se posent aujourd’hui, qu’il s’agisse du changement climatique, des retraites, de la dette publique ou du marché du travail, pour qu’une conclusion s’impose : le sort relatif des jeunes est bien pire qu’il ne l’était il y a vingt-cinq ans.
Le nombre et l’ampleur des manifestations ayant eu lieu en marge de la COP 21 l’ont encore démontré, les Français sont très attachés au respect de l’environnement, au refus du gâchis et à toutes les actions individuelles menées pour le bien collectif. Tant d’actions majeures et visibles qui sont également soutenues par des actes locaux plus modestes mais tout aussi importants pour la planète. C’est tout l’enjeu de Fripnart : un concept innovant de collecte/vente de vêtements d’occasion et neufs.
Une étude mondiale d’Infosys révèle les disparités concernant les perspectives de la jeunesse entre les pays émergents et développés, dans un monde confronté à la Quatrième Révolution Industrielle ou Industrie du futur. En comparaison avec les autres pays interviewés, 76 % des jeunes travailleurs français pensent que leurs perspectives d’emplois sont pires que celles de la génération de leurs parents.
Comment éviter la dramatisation du débat scientifique et rendre le dialogue durable entre les experts et les publics? Comment faire en sorte que les passions, les peurs, se transforment en désirs de savoir ? Quelle forme de médiation et de concertation, régulant et facilitant les débats, est susceptible de favoriser la démocratie des débats ?
Nous avons demandé à trois représentants d’associations soucieuses d’animer le débat public sur les relations entre la science et la société de répondre à nos questions sur ces thèmes trop peu abordés.
Propos recueillis par Yan de Kerorguen
Nous vivons une époque renversante où la versatilité des opinions et les doubles discours se propagent à la vitesse V. Sens dessus, dessous. Tous les jours, dans la dérision ou l’indifférence, nous observons que des propos opposés semblent étrangement familiers l’un à l’autre. Du pareil au même. Tout se vaut. Les rapports de force se bousculent. Les habitus s’emmêlent. Alliés un jour, adversaires le lendemain, les avis finissent par se confondre. Il n’y aurait donc plus d’opinion? Nonchalamment, sommes-nous enclins à penser tout et son inverse, pas loin de croire que les choses auxquelles nous accordons le plus de valeur naissent ironiquement de leur contraire.
Redonner du sens à l’action publique en imaginant de nouvelles modalités d’interaction entre les administrations et les différents acteurs de la vie des territoires, à commencer par les citoyens : le design territorial raconte comment on voudrait (ou pas) vivre le monde de demain.
En définissant successivement, et dans l’ordre, les trois termes “économie”, “sociale” et “solidaire”, Hervé Defalvard, économiste, responsable de la chaire d’Economie sociale à l’Université de Paris-Est Marne-la-Vallée, propose une représentation unifiée de l’autre économie. Et en fait une réalité ouverte et évolutive.
Et si le travail devenait le lieu de son propre apprentissage ? Cette vision n’est pas nouvelle. Elle alimente depuis vingt ans les tenants de la didactique professionnelle. Et commence à intéresser le Législateur comme les partenaires sociaux.
Les spectacles de décembre • Sur le dérèglement climatique et les défis environnentaux • Le 5 décembre, à 14h15, « Les visiteurs du futur », pour le Village mondial des […]
La longue nuit polaire, le craquement des glaces, la solitude, le froid du blizzard et les icebergs tranchants…
Restés longtemps inexplorés, les pôles sont devenus en un demi-siècle une véritable « terra scientifica ». Ces énormes réserves de froid que Paul-Emile Victor qualifiait de « déserts absolus » ont une influence prépondérante sur l’ensemble du globe. Ce qui attire les chercheurs ? Certes, il y a la beauté des aurores boréales, avec ses voiles mouvants de lueurs entre le bleu-vert et le jaune, sur fond de ciel sombre, chargé de particules électrifiées et de gaz raréfié. Mais bien sûr, ce n’est pas seulement de sensations qu’il s’agit.
« Mes Chers collègues, les attentats d’une barbarie sans précédent qui ont ensanglanté notre Ville le 13 novembre ont fait 130 morts et près de 600 blessés dont 200 sont encore hospitalisés.
Au-delà de ces personnes directement touchées, ce sont des dizaines de milliers de Parisiens qui ont été durement éprouvés.