La crise a fortement augmenté la demande de prêts destinés à financer les petits projets. Mais, faute d’un environnement légal suffisamment cadré, le marché manque de lisibilité.
Et si les réseaux sociaux étaient mis à disposition de la collectivité et de la citoyenneté pour leur donner une nouvelle dimension ? Une expérience menée par la 27 ème Région dans le cadre de ses « résidences en territoires » autour du réseau social ruche.org de la ville de Rennes montre comment on peut trouver le chemin d’une citoyenneté augmentée.
Alors que se profilent les élections régionales du mois de mars, la question des politiques publiques menées dans les territoires est l’objet de toutes les attentions.
Le bonheur est à la mode. Tel est l’enseignement que le Planning stratégique de Kantar Media tire de l’analyse de la communication des marques sur l’année 2009.
Le stockage souterrain de gaz carbonique pour des milliers d’années pose toutefois des problèmes d’acceptation sociale.
Pas de taxe carbone au 1er janvier : le Conseil constitutionnel a estimé que les exemptions trop importantes (elles concernaient 93% des émissions de CO2 d’origine industrielle hors carburant, et globalement plus de la moitié des émissions de gaz à effet de serre) créaient pour les particuliers une situation d’inégalité face à l’impôt.
Des milliers de milliards de dollars sont en jeu à Copenhague. Un rapport du Conseil d’analyse économique (CAS), intitulé « Politique climatique, une nouvelle architecture mondiale » et réalisé par une équipe de chercheurs animée par l’économiste Jean Tirole, met en relief la dimension financière de toute politique contre le réchauffement climatique.
Mieux vaudrait, ne serait-ce que par simple rationalité économique, agir plutôt qu’attendre. Le rapport Stern, du nom du Directeur du budget et des finances publiques au Trésor britannique qui le rendit public en octobre 2006, a eu pour principale novation d’introduire l’analyse économique dans le débat climatique. Et d’exprimer des arguments puissants en équations simples. Il souligne ainsi que les dommages causés par le réchauffement de la planète seraient 5 à 20 fois supérieurs aux sacrifices que les systèmes économiques devraient supporter pour lutter efficacement contre l’effet de serre. Et qu’une baisse de 25% des émissions de gaz à effet de serre en 2050 par rapport à aujourd’hui ne devrait entraîner qu’un surcoût de 1% du PIB mondial à cette échéance.
Au cours des trois prochaines décennies, les pays en voie de développement concentreront 90 % de la croissance urbaine. « Eco2 Cities : Villes écologiques et villes économiques » est un programme de la Banque Mondiale qui permet d’aider les villes des pays en voie de développement à atteindre la durabilité écologique et économique.