Le groupe « Europe citoyenne » mobilise des citoyens européens autour de
deux questions : comment est-on européen au quotidien ? Et comment devient-on moteur de la construction européenne dans sa vie de tous les jours ? Pour y répondre, le collectif s’appuie sur une méthode prospective dite des scénarios ou comment dessiner collectivement l’Europe de ses rêves.
Eric Dacheux est chercheur au laboratoire CNRS « Communication et Politique » où il anime l’équipe « Espace public européen » et enseignant à l’université Jean Monnet (Roanne). Il a publié, en janvier 2004, « L’impossible défi, la politique de communication de l’Union européenne ».
La disparité entre les pays de l’UE en matière de législation sur les associations est une réalité qui s’est accrue avec les 10 pays entrants. Or, la promulgation d’un statut d’association à l’échelle européenne devient une nécessité pour que puisse se construire une Europe politique et citoyenne. Dans les faits, la mesure est toujours dans les cartons.
Le groupe de réflexion EC (Europe Citoyenne) s’est penché sur l’avenir de l’éducation dans une perspective européenne. Présentée sous la forme de scénarios – tendanciel, rose et noir -, EC nous livre une synthèse de leur travail, voyage dans le temps qui nous invite à réfléchir aux enjeux actuels.
Le groupe de réflexion EC (Europe Citoyenne) s’est penché sur l’avenir de la démocratie locale dans une perspective européenne. Présentée sous forme de plusieurs scénarios alternatifs – « tendanciel », « rose » et « noir » -, voici une synthèse de leur travail, voyage dans le temps qui nous invite à réfléchir aux enjeux actuels.
21 mars : journée internationale de l’élimination de la discrimination raciale. A l’occasion de cette campagne annuelle à dimension internationale visant à promouvoir les principes de respect, d’égalité et de diversité culturelle, Place Publique publie l’interview d’Olivier Noël, doctorant en sociologie, sur la discrimination à l’emploi et ses rouages.
Pourquoi, aujourd’hui en France, doit on penser « commerce équitable » ? Pourquoi devrions nous payer notre café un peu plus cher, certes pas beaucoup plus cher, mais un peu plus cher quand même ! Pourquoi devrions nous nous intéresser à ces étrangers qui vivent (ou survivent) loin de nos yeux ?
Dans son livre Corps et âme, proposé par Graines de changement (1) aux éditions Village mondial, Anita Roddick retrace l’histoire de The body shop, enseigne britannique de produits cosmétiques. Véritable succès commercial (2), The body shop incarne également une vision humaniste de l’entreprise. Entretien avec Anita Roddick, sa fondatrice.
En dehors des entreprises de l’économie sociale et solidaire, aucun représentant du monde entrepreneurial ne participera officiellement au Forum social Européen (FSE). Annick Coupé, membre du secrétariat de l’organisation du FSE et porte-parole nationale de l’Union syndicale G10 solidaires justifie ce choix et explique que le FSE est avant tout une rencontre des mouvements sociaux. De son côté, Sylvain Breuzard, chef d’entreprise et président du Centre des Jeunes Dirigeants d’entreprises (CJD) regrette ce parti-pris radical et plaide pour une attitude d’ouverture et de dialogue. Interviews croisées.
Né de la conjonction de forces multiples et variées, le processus du FSM (Forum social mondial) est tout sauf homogène. Au fil des ans – et de la dynamique générée -, des points de vue contradictoires s’expriment naturellement. A l’occasion du FSE, un ouvrage collectif (1), à l’initiative des revues Mouvements et Transversales, a choisi d’interroger quelques-uns des principaux acteurs, français et étrangers, pour leur demander de réfléchir à l’avenir du mouvement altermondialiste. Première synthèse autour de quatre questions clés.
Les perspectives sont sombres pour la recherche française. Dans les 10 ans qui viennent, la moitié des universitaires, des ingénieurs, des techniciens et des chercheurs devront être remplacés. On constate […]
Ancien président de la FMF (Fédération des Mutuelles de France), Daniel Le Scornet est à l’origine de la création, voilà un an, de la MASC (Mutuelle Arts Sciences Social Culture). Cette structure originale entend réunir artistes, scientifiques et acteurs de quartiers pour réfléchir sur les fondements et les valeurs culturelles de la mutualisation. L’occasion d’un retour aux sources ?