Cet article est le troisième et le dernier d’une série qui fait le point sur l’avenir de la presse, papier et internet. L’auteur met en évidence dans ce troisième texte l’explosion des modes de diffusion et ce que pourrait être le journal de l’avenir. Vous pouvez lire les deux premiers articles en vous reportant sur le magazine du mois d’octobre
– Date de création : 2007 Objectif : faire du journalisme citoyen sur la diversité culturelle Activités : L’association anime un site internet www.entre-gens.com conçu comme un portail de […]
Cet article est le second d’une série de trois articles qui fait le point sur l’avenir de la presse, papier et internet.
L’auteur fait ici état du déficit de prise en compte des atouts de la numérisation
Cet article est le premier d’une série de trois articles qui fait le point sur l’avenir de la presse, papier et internet. L’auteur établit dans ce premier texte le diagnostic général. .
Dans son livre, les « foules intelligentes : la révolution qui commence » (M2 Editions) , l’américain Howard Rheingold, un des « grands prospecteurs » des interactions sociales en ligne, montre comment l’utilisation des technologies de communication facilite la coopération entre humains, amplifie l’organisation collective et favorise l’avènement de la prochaine révolution sociale.
L’économie de la planète numérique a pour première caractéristique d’être à l’origine d’un grand mouvement du libéralisme. J’entends par là qu’elle libère les énergies et rend possible des millions d’initiatives dont l’autoproduction sur la Toile est un exemple.
Ne m’a-t-on pas assez répété qu’ici on s’intéresse au futur. Certes, mais comment parler du futur dans un contexte où personne ne sait de quoi demain sera fait. Essayons de démêler quelques traits de notre présent.
« Ce que je souhaite pour mon pays, mes concitoyens, pour le monde » est la première question sur laquelle un homme politique, un militant, un citoyen devrait être au clair, à tout moment. Cela simplifierait bien des débats, bien des ambiguïtés du discours. « Tu veux quoi ? », voilà la question.
« Yes we can ». L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis est une victoire en chantant! Jamais, exception faite de George Washington, un homme politique américain n’avait été aussi facilement élu.
Cet évènement historique qui voit un candidat noir accéder à la tête du pays le plus puissant de la planète a tout d’un film.
Un film dont le titre pourrait être le retour de « l’ami américain » ou la « re-naissance d’une nation ».
Organisé par le Ravi
Pour Erwan Lecoeur, sociologue et ancien directeur de l’Observatoire du Débat Public*, le constat est alarmant. Les médias n’ont pas suffisamment tiré les leçons des critiques proférées à leur encontre en 2002. S’ils ont abandonné le traitement mono thématique de l’insécurité, reproché alors, ils sont retombés dans leur principaux travers : emballement médiatique, choix de sujets anecdotiques, approche psychologisante des candidats au détriment d’une analyse profonde des programmes, mise en scène du « peuple » pour un faux débat démocratique, collusion flagrante avec les politiques… Selon le sociologue, ces élections risquent grandement de sonner le glas d’un journalisme qui, selon lui, n’a plus droit de cité… en l’état !
Organisé par La ville est à nous