Vous avez une idée géniale pour monter une entreprise mais vous ne savez pas par où commencer ? Vous êtes un entrepreneur déjà établi et vous avez besoin d’aide ? Ou bien vous êtes déjà à la tête d’une entreprise dynamique mais vous souhaitez la développer et avez besoin d’idées nouvelles ? Alors le programme Erasmus pour jeunes entrepreneurs, une initiative de mobilité financé par l’Union européenne, est pour vous.
Entreprise citoyenne, entreprise responsable, entreprise sociale : l’époque aspire à de nouvelles organisations de production et de travail, plus proches de l’intérêt social général.
Il y a des moments où les peuples se lèvent et disent « ça ne va pas, cela doit changer ». Voilà, nous en sommes là. Joseph E. Stiglitz, Prix Nobel d’Economie, a pourtant prévenu depuis longtemps des dérives du système actuel et de la financiarisation de l’économie. Dans son nouvel ouvrage, cette fois, il se focalise sur le « prix de l’inégalité ».
Les responsables de grosses associations, confrontés à des enjeux plus lourds en matière de ressources humaines et de financement, se montrent les plus préoccupés.
Selon une étude réalisée à la demande de No-Logic Consulting, par l’Institut Limelight consulting, l’imprévisible* nous amène sur des terrains inconnus, où nous sentons bien que nos théories habituelles, ont de plus en plus de mal, à être efficaces.
Si les coopératives, les mutuelles et les fondations ont gagné des emplois en 2011, le secteur associatif accuse un recul, révèle l’étude annuelle de Recherches & Solidarités.
Entre entrepreneuriat social et économie sociale, les zones de recouvrement sont bien réelles. Et de plus en plus visibles.
Pour la première fois, le Baromètre France Générosités-CerPhi publie des indicateurs négatifs. De quoi inquiéter les associations.
La France cultive une méfiance instinctive (contre le politique, les dirigeants économiques, les syndicats…). Une méfiance qui lui coûte quelques points de PIB.
Le décret d’application de l’article 225 de la loi Grenelle 2, instaurant un reporting obligatoire des informations sociales, environnementales et sociétales de la part des entreprises de plus de 500 salariés et dont le chiffre d’affaires dépasse 100 millions d’euros, a été publié au Journal officiel le 26 avril dernier, entre les deux tours de l’élection présidentielle. Effective d’ici à 2014, en fonction de la structure de l’entreprise (cf. encadré), la loi concernera à terme plus de 1.500 sociétés.
En proposant un tour d’horizon complet des fondements, de la réalité et des enjeux de l’économie sociale et solidaire, Muriel Jaouën, journaliste à Place-publique.fr, expose, dans son livre « L’économie sociale: la nouvelle donne », les conditions et les freins d’une alternative plausible à un modèle financier en bout de course.
Dans un contexte global de récession, le tissu coopératif français résiste bien, affichant même des indicateurs en croissance régulière.
Si les disparités salariales sont moins fortes dans l’économie sociale que dans l’économie dominante, la moyenne des rémunérations y est également plus faible.
Interview de Michel Aglietta, économiste, professeur à l’université de Paris Ouest Nanterre et conseiller scientifique au Cepii (Centre d’Etudes Prospectives et d’Informations Internationales).
Précision: Cet interview a été réalisé avant les Elections présidentielles. Il ne tient donc pas compte des évènements survenus depuis lors.
Depuis novembre 2011, plus de 5000 PME ont été consultées pour échanger autour de quatre dispositifs jugés cruciaux pour maintenir l’investissement dans les PME de l’innovation. Menées autour d’une proposition de Manifeste, les discussions ont permis de converger vers l’idée selon laquelle au-delà des propositions de chaque catégorie d’acteur de l’innovation, ces quatre dispositifs que sont le Crédit d’impôt recherche, le statut de Jeune entreprise innovante, le Small business Act et l’ Investissement direct dans les PME doivent être renforcés pour encourager la croissance de nos PME.