par Pierre Le Roy, ancien élève de l’ENA et haut fonctionnaire est spécialiste des questions agricoles. Auteur de « L’histoire de l’agriculture française, de 1867 à nos jours » (SAF-agr’iDées. 2016) il […]
C’est en appelant à relever un grand Défi pour l’Emploi et ainsi faire de la lutte contre le chômage une cause nationale, que l’Adie lance la 11e édition de sa […]
D’après les résultats d’une l’étude menée par CFTC Santé Sociaux, la fédération des métiers de la santé et des services à la personne sur « Les Français et les particuliers employeurs », réalisée par OpinionWay, près de la moitié des Français ont déjà fait appel aux emplois de proximité. Avec 1,5 million de salariés, l’emploi à domicile est le deuxième employeur de France derrière l’artisanat (2 millions de salariés).
Au regard des premiers retours d’expérience très favorables, la loi Travail a instauré la généralisation de cette Garantie jeunes à compter du 1er janvier 2017 sur l’ensemble du territoire. Elle est dorénavant accessible à tous les jeunes de moins de 26 ans en situation de précarité, sans emploi, qui ont arrêté leurs études et qui ne suivent pas de formation (NEET). L’objectif : leur permettre d’entrer dans la vie active grâce à un parcours complet et intensif d’accès à l’emploi, et leur garantir un revenu.
Une étude « Les Français et la politique industrielle de la France » réalisée par OpinionWay pour OPEO (www.opeo-conseil.fr) et dévoilée le 9 novembre 2016, à l’occasion des Rencontres pour la Compétitivité Industrielle, mesure la perception qu’ont les Français du secteur industriel. Dans un contexte d’élections nationales qu’est ce que les Français identifient comme atouts et faiblesses de l’industrie en France ?
Près de 9 000 start-up composent le marché de la consommation collaborative dans le monde aujourd’hui. Etant estimé à 15 milliards de dollars en 2015, ce dernier devrait représenter 335 milliards de dollars en 2025, ce qui correspond à un taux de croissance annuel moyen de +36,4 % et une multiplication du marché par plus de 20 en 10 ans.
Avec un tel potentiel, l’économie collaborative reste un modèle intéressant qui n’a pas encore atteint son sommet, ni en termes de puissance économique, ni en termes d’innovation.
Pour les sociétés dont le développement est basé sur l’innovation, la protection de la propriété intellectuelle est une question primordiale. Des années d’investissements en recherche et développement peuvent passer en pure perte lors de la sortie d’un produit dont les spécificités seraient mal protégées. Quelle stratégie adopter face à une concurrence qui n’hésite pas à profiter de chaque faille ?
Il suffit de considérer quelques-uns des grands problèmes qui se posent aujourd’hui, qu’il s’agisse du changement climatique, des retraites, de la dette publique ou du marché du travail, pour qu’une conclusion s’impose : le sort relatif des jeunes est bien pire qu’il ne l’était il y a vingt-cinq ans.
Le nouveau rapport économique paneuropéen de Glassdoor révèle que la France est le 2ème pays à être le plus généreux en termes d’avantages sociaux offerts aux salariés
Selon un chiffre à confirmer, ce serait plus de 15.000 entreprises qui travailleraient dans le secteur de l’économie dite collaborative. Ce qui représenterait quelque 13 000 emplois salariés… ce qui me paraît tout à fait invraisemblable. … Mais l’essentiel est là : cela peserait environ 2,5 milliards de chiffres d’affaires .. on ne rigole plus ! À défaut de faire des économies, le gouvernement y voit une source nouvelle de revenus. Pourquoi se priver !?
Alignement sur des valeurs d’innovation et de partage, création de sens, utilité sociale… Les futurs jeunes diplômés sont de plus en plus tentés par un emploi qui pourrait se réaliser hors des clous financiers.
Une étude mondiale d’Infosys révèle les disparités concernant les perspectives de la jeunesse entre les pays émergents et développés, dans un monde confronté à la Quatrième Révolution Industrielle ou Industrie du futur. En comparaison avec les autres pays interviewés, 76 % des jeunes travailleurs français pensent que leurs perspectives d’emplois sont pires que celles de la génération de leurs parents.
En définissant successivement, et dans l’ordre, les trois termes “économie”, “sociale” et “solidaire”, Hervé Defalvard, économiste, responsable de la chaire d’Economie sociale à l’Université de Paris-Est Marne-la-Vallée, propose une représentation unifiée de l’autre économie. Et en fait une réalité ouverte et évolutive.
* Directeur du département d’économie de l’Ecole Normale supérieure, agrégé de mathématiques et docteur d’état es Sciences Economiques, Daniel Cohen est spécialiste de la macroéconomie internationale et de la dette souveraine. Il a publié de nombreux ouvrages d’Economie dont « Homo economicus, prophète (égaré) des temps nouveaux », qui lui a valu le prix du livre d’économie en 2012. Cofondateur de l’École d’économie de Paris et Directeur du CEPREMAP, il anime un courant de jeunes économistes distingués pour leurs recherches, sur le plan international. Dans son dernier ouvrage « Le monde est clos et le désir infini », il analyse la crise de la croissance de la société moderne.
Communiqué de presse – Mois de l’ESS : le MOUVES appelle à l’action sur les territoires ! Les objectifs de ces rencontres avec des entrepreneurs sociaux: 1. Susciter l’engagement des […]