Emmanuelle COSSE, ministre du Logement et de l’Habitat durable, Patrick KANNER, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, et Ericka BAREIGTS, secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité réelle, […]
Le Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie, force et limites de la justice internationale
Pressions politiques, intimidations de témoins, assassinat d’un premier ministre serbe pour sa collaboration avec la justice internationale, jugements controversés, l’histoire du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) et de ceux qui l’ont côtoyé a l’odeur et le goût de la fiction. Mais pourtant derrière le roman du TPIY se dessinent des enjeux majeurs en termes de relations internationales ainsi qu’un héritage complexe pour les sociétés de l’ex-Yougoslavie.
Il paraît que les Français ont un problème d’identité. Qu’ils ne se sentent pas bien dans leur peau gauloise. Qu’ils ne reconnaissent plus leur pays. Qu’ils craignent le « grand remplacement
La Chambre de première instance III du Tribunal pénal international pour l’ex Yougoslavie (le « TPIY ») a aujourd’hui déclaré Radovan Karadžić, ancien Président de la Republika Srpska et commandant suprême de ses forces armées, coupable de génocide, de crimes contre l’humanité et de violations des lois ou coutumes de la guerre, pour les crimes commis par les forces serbes durant le conflit armé en Bosnie Herzégovine (la « BiH »), de 1992 à 1995. Il a été condamné à une peine de 40 ans d’emprisonnement.
L’exécutif prévoit de lancer, début février, une procédure de révision constitutionnelle. Celle-ci portera essentiellement sur deux sujets, l’état d’urgence et la déchéance de la nationalité, auxquels est venue s’ajouter très récemment la réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature.
Durant l’année 2015, 11 128 personnes se sont faites évacuées de force par les autorités de 111 lieux de vie. 410 personnes ont dû quitter cinq lieux de vie faisant suite à un incendie. Ces chiffres indiquent que 60 % des personnes recensées occupant des bidonvilles ont été évacuées de force durant l’année 2015, dont la moitié durant les mois de l’été.
Strasbourg, 13.10.2015 – Dans un rapport publié aujourd’hui sur la République tchèque, la Commission européenne contre le racisme et l’intolérance (ECRI), tout en reconnaissant les progrès accomplis dans un certain nombre de domaines, se dit vivement préoccupée par la persistance de la ségrégation des enfants roms à l’école et la prévalence de propos haineux contre les Roms dans le discours politique.
La conscience et le pardon semblent des mots inconnus dans le vocabulaire des autorités serbes de Bosnie. Et l’hommage aux victimes, d’après eux, serait une grave erreur! Bref, la partie serbe de la présidence collégiale bosniaque refuse d’assumer la responsabilité de certains de ses dirigeants dans la tragédie de la guerre en Bosnie entre 1992 et 1995. Depuis peu, le Royaume-Uni prépare un projet de résolution onusienne pour marquer le 20e anniversaire du massacre de Srebrenica, en juillet 1995 et se pencher sur l’échec des Nations unies qui furent incapables d’éviter ce génocide. Une initiative que rejette la partie serbe de Bosnie qui semble avoir du mal à assumer les leçons de l’histoire et reconnaître les rendus de la justice. Au contraire, nombreux parmi eux considèrent le bourreau de Srebrenica, le général Mladic (photo) comme leur héros.