Après de nombreuses années de petits boulots, notamment dans les services et les agences d’hôtes d’accueil, j’ai accumulé quelques bonnes expériences et beaucoup de déconvenues. Le texte qui suit relate ma dernière collaboration avec un grand groupe automobile pendant le dernier Salon de l’Automobile. Après une journée de formation (rémunérée) où nous fûmes bien traités, et plusieurs réunions de préparation (sur notre temps personnel), j’ai commencé ma première journée de travail avec pour horaire 13H00 – 00h00. L’ambiance est plutôt chaleureuse, plusieurs courtes pauses dans l’après-midi, puis vient le soir, où le rythme de travail devient plus soutenu tandis que les effectifs se réduisent. Passé 20h, quelque peu fourbu, je m’enquiers ingénument du dîner (prévu par contrat). On m’accordera une pause quelques minutes plus tard, sans explication. Vingt minutes, aucun repas, et retour au travail jusqu’à minuit. Fatigué et quelque peu agacé par ce manque de considération alors que, selon notre employeur temporaire, « nous sommes une équipe et l’on peut tout se dire » (cela a été martelé pendant la formation), je fais part de mon mécontentement d’une voix ferme mais restant dans le respect de chacun. La suite…
Ils sont nombreux, puissants, présents partout dans le monde, et ils n’ont rien d’illuminés. Experts, investisseurs, entrepreneurs, chercheurs, ils sont issus de la cyberculture californienne et croient dur comme cyber que le transfert de la conscience humaine dans la machine, est une évolution nécessaire de l’humanité. A les entendre, si l’homme veut survivre, il devra fusionner avec la technique. Bigre !
Déficit d’innovation, augmentation des procédures et des coûts de contrôle, compétition interne énergivore et génératrice de stress, hiérarchie pesante, perte de motivation des personnels…force est de constater : l’entreprise est […]
Un mal persistant domine nos sociétés : la défiance à l’égard des élites. Une défiance qui s’exprime par un certain désintérêt de la politique et un rejet de la représentation politique.
Un cours de cuisine moléculaire ? Un rallye en buggy à proximité de Paris ? Une virée en Floride ? Non. En ces temps où il faut bon revenir aux valeurs essentielles, à la simplicité et où la solidarité fait sens, c’est au sein du réseau Cocagne, un réseau de jardin maraîchers biologiques à vocation d’insertion sociale ou professionnelle, que certaines entreprises ont choisi de d’oxygéner leurs cadres.
Le 10 février 2014, pour la première fois dans l’histoire de la République, une loi sur le développement et la solidarité internationale sera votée au Parlement. Solidarité Laïque soutient l’essentiel de ses orientations. Le 20 janvier, elle a fait parvenir 19 amendements à une quarantaine de députés pour nourrir les débats. L’occasion de repréciser les fondamentaux d’une politique de développement efficace.
L’économie liée aux besoins des seniors devient l’objet d’une filière spécifique.
Le vieillissement de la population est, selon l’ONU, l’un des trois grands défis du XXIe siècle. Dans le monde. Et en France également. Ce qui explique le soutien apporté par le gouvernement Ayrault à l’installation d’une filière industrielle dédiée à la « silver économie », spécifiquement orientée sur les besoins des seniors.
Dans leur dernier sondage* publié sur le site www.editions-tissot.fr, les Editions Tissot, spécialistes de publications en droit du travail à destination des employeurs, indiquent que 93 % des salariés, du privé comme du public considèrent qu’il est fréquent de se faire des amis au travail parmi ses collègues.
Les entreprises sociales coûtent cher à l’Etat ! C’est précisément pour lutter contre certaines idées reçues que les associations, entrepreneurs sociaux et fondations souhaitent évaluer leur impact social. Illustration avec le groupe d’entreprise d’insertion Ares qui s’est lancé il y a quelques temps dans cette démarche.
Dans le débat européen, la Grèce semble se résumer à ses 321,6 milliards d’euros de dettes, sa fraude généralisée, ses manifestants quelquefois violents, ses 27,6 % de chômeurs, ses 21,4 % de pauvres. En Grèce même, certains s’abandonnent aux théories de la conspiration, tous détestent cordialement la troïka, la majorité souffre … mais beaucoup se retroussent les manches : il existe aussi une Grèce de l’entraide et de l’innovation, une Grèce qui entreprend.
En Grèce, plus personne n’attend de solution venant de l’Etat. Les Grecs renouent avec les principes vieux de 2500 ans qui ont fait naître la première démocratie à Athènes : ils s’associent localement en citoyens et prennent leurs affaires en main eux-mêmes.
Portraits de ces Grecs qui créent de nouvelles structures pour s’entraider et produire ensemble.
Il y a les entrepreneurs par défaut ou par nécessité, faute d’opportunités d’embauche. Et il y a les entrepreneurs par goût et passion. Au point d’avoir le courage de quitter leur poste à responsabilités à l’étranger pour rentrer en Grèce et créer leur propre affaire.
Ceux-ci se posent cette question : qu’ai-je envie de faire de ma vie ?